Alstom : L’État français a ses mots à dire

Alstom : L’État français a ses mots à dire

alstom

 

Alors que le groupe allemand Siemens vient de déposer son offre pour le rachat d’Alstom, l’État français à freiner sur la vente précipitée du groupe Alstom.

Une convocation par l’Élysée du premier ministre Manuel Vals et de la ministre Ségolène Royal et Arnaud Montebourg pour une réunion d’urgence a fait savoir que le président de la République François Hollande recevra le PDG du géant américain General Motors ce lundi à 9heure.

General Motors ou Siemens ?

L’intention de rachat d’Alstom par Siemens avait changé la donne sur la décision de l’État malgré le retrait de l’État depuis 2006. Les deux offres sont fortes intéressantes, cependant il faut éviter de démanteler ce fleuron de l’industrie française. Ce freinage sur la négociation vise surtout à garantir « le maintien et de créations d’emplois, d’investissements et de recherche-développement en France, ainsi que le maintien des centres de décision en France » selon le ministre Arnaud Montebourg

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.