Yoann Gandzion veut développer les « potentiels de l’Afrique »
La dernière étude Ernst & Young est catégorique : l’Afrique est un continent plus que porteur en termes de futurs investissements. Dans la dernière livraison de son baromètre annuel de l’attractivité de l’Afrique, la firme de conseil indique notamment que le secteur des infrastructures devrait connaitre un fort développement dans les années à venir.
Pourtant, de nombreux acteurs financiers hésitent à y intervenir, considérant que l’environnement (notamment institutionnel) est trop complexe. Ayant identifié ce besoin d’accompagnement sur mesure pour prendre pied sur le continent africain, Yoann Gandzion a créé un cabinet spécialisé, Safe African Investement.
Homme d’affaires franco-congolais, rompu aux techniques de financement et de gestion de projet, Yoann Gandzion est convaincu depuis de nombreuses années du potentiel immense que représente l’Afrique, notamment dans sa partie francophone. Formé au Droit à l’Université Robert Schuman de Strasbourg, et détenteur d’un Master de management à l’INSEEC, il a effectué toute sa carrière dans un environnement multi-culturel. De plus, ses précédentes expériences l’ont initié aux enjeux à fort potentiel du secteur énergétique, pétrolier et du bâtiment. A tel point que ses partenaires financiers voient en lui « l’incarnation parfaite de l’homme d’affaire africain du XXIeme siècle. »
Fort de cette expérience, Yoann Gandzion est donc désormais aux commandes de SAI (Safe African Investment), un cabinet de conseil spécialisé dans l’accompagnement des porteurs de projets, et plus largement de tout investisseur soucieux de bénéficier d’un accompagnement personnalisé et sur mesure pour profiter de l’attractivité du continent africain, sans tomber dans les chausse-trappes habituelles. Sans surprise, les principaux domaines suivis par SAI concernent l’énergie, le pétrole, le BTP, l’ingénierie et l’immobilier. A ces activités, SAI ajoute également un accompagnement en Private Banking, le conseil en placement et en prévoyance, ou encore le Wealth management.
Pour Yoann Gandzion, il s’agit de participer à « transformer les potentiels de l’Afrique en richesses réelles », en levant les barrières psychologiques de certains investisseurs occidentaux, dont les préjugés sur l’Afrique sont tenaces. Car il en est certain, l’Afrique a un potentiel immense, et « ceux qui n’y seront pas le regretteront à terme ».